L’histoire de l’Iran n’a jamais été autant exploitée et déformée qu’aujourd’hui. Cette extorsion se produit si effrontément que tout à coup, un criminel Savaki nommé Parviz Sabeti est devenu un créancier avec une impudeur sans précédent et a regretté que ses recommandations en faveur d’une répression plus poussée n’aient pas été prises en compte. Tout d’un coup, le « groupe de réflexion » des royalistes, guidé par le stupide Shaaban et la grande fée d’aujourd’hui, pense bêtement que s’ils peuvent blâmer la génération de la révolution plutôt que la République islamique pour le bilan honteux de ce régime, ce sera un miracle et l’histoire sera finie. Il revient de 57 et le trône et la couronne leur sont remis. Le but principal de tout cela est de falsifier l’histoire pour en tirer des bénéfices futurs. L’impérialisme mondial dirigé par l’Amérique, tant qu’il existe et que l’Iran existe, veut préserver la possibilité d’interférer dans le sort de notre pays par l’intermédiaire des mercenaires royalistes et de leurs sympathisants. L’une des méthodes d’inquisition honteuses, répressives et médiévales des royalistes est la tentative de « faire honte » aux participants à la révolution Bahman et en général aux combattants contre la honteuse famille Pahlavi. Parfois, les royalistes apparaissent comme les victimes de la « réaction rouge et noire » et se battent à mort. Faites attention à cette oppression du Shah lors du mouvement du 15 Khordad 42 :

“Il y a toujours eu des ignorants dont le cerveau n’était pas ébranlé, ils nous jetaient toujours des pierres sur notre chemin parce que leur cerveau n’était pas ébranlé et ne pouvait pas être ébranlé (faites attention au nombre d’erreurs de composition et de conception du Shah du pays !) La réaction noire ne comprend pas et sur mille Insensibles depuis l’année dernière jusqu’à maintenant, il pense que la vie consiste à obtenir quelque chose ou de l’argent par l’oppression ou la vanité ou autre, à manger et à se coucher. Mais la gratuité de la nourriture n’existe plus. Dans les six projets de loi, il a été considéré comme adapté à tout le monde, les réglementations que nous avons établies aujourd’hui ne sont pas en retard sur les réglementations des autres nations, voire en avance, mais qui s’oppose à ces questions ? La réaction noire, les ignorants qui ne comprennent pas et qui ont de mauvaises intentions, les destructeurs rouges, leur décision est claire, et d’ailleurs, j’ai moins de haine envers eux. Il dit publiquement que je veux remettre le pays à un étranger. Il ne ment ni ne trompe. Mais ceux qui agissent autrement prétendent faussement être des patriotes, je veux dire les réactionnaires noirs. Qu’ont-ils fait pendant ces 22 années de mon règne ? Où étaient-ils en Azerbaïdjan ? Je sais où ils étaient. Ils ont fait alliance avec le professionnalisme et ont trahi ce pays. Ce sont eux qui, il y a quelques jours à Téhéran, ont déclenché une petite foule ridicule de fous barbus sur le marché pour faire du bruit. Ce sont eux qui sont allés s’allier avec Pesharoy et ont bu du vin avec lui (la tombe du père du menteur !) et… ceux-là sont cent fois plus traîtres que le parti Tudeh. : Kehan ​​​​- information, février 4, 2011)

Et quant aux positions du parti Toudeh d’Iran concernant les réformes agraires, du mouvement Khordad 15 et de Khomeini. Le Parti Toudeh d’Iran avait déjà dans les documents du quatrième grand plénum (du 5 au juillet 1336) la préparation théorique, politique et directrice pour adopter une position correcte sur le mouvement du 15 juin 2016. Dans ce document, la politique générale du parti a été approuvée comme suit : « La révolution iranienne est au stade démocratique bourgeois du nouveau style, c’est-à-dire au stade de la révolution anti-impérialiste et anti-féodale, et au stade de la révolution anti-impérialiste et anti-féodale. l’époque actuelle, son tranchant est tourné vers l’impérialisme. » L’impérialisme-féodalisme et la bourgeoisie compradore et au-dessus d’eux la cour sont les ennemis de la révolution et entravent sa croissance et sa victoire, les ouvriers, les paysans, les intellectuels, la petite bourgeoisie et la bourgeoisie nationale constituent les forces motrices et la base sociale de la révolution. Le prolétariat iranien, en tant que classe révolutionnaire la plus persistante, a le devoir d’assurer sa direction pendant la révolution démocratique. Le devoir fondamental du Parti du Prolétariat – Parti Tudeh d’Iran est de se préparer aux batailles futures avec l’expérience acquise du passé afin qu’il puisse assurer la direction (hégémonie) du prolétariat et conduire la nation à la victoire de la révolution et ne laissons pas la bourgeoisie nationale faire passer la révolution par le couloir étroit de ses tendances de classe. »

Un autre aspect de la ligne directrice du Parti Tudeh d’Iran envers le régime putschiste et avant le mouvement du 15 Khordad 42 a été clairement énoncé lors du 7e plénum du parti de cette manière au paragraphe 7 : il est fermé aux protestations du peuple, seulement avec “C’est la mobilisation des masses et l’action révolutionnaire du peuple iranien qui permettront de renverser ce régime détesté” (Septième Plénum du 28 juillet au 7 août 1339). professeur du parti Tudeh d’Iran, ils ont promu le « réformisme » du parti, tandis que le document ci-dessus parle de « l’action révolutionnaire du peuple pour renverser Razim » et approuve toutes les formes de lutte. (On ne le sait pas à ce jour. ) Sans les conditions mentales et objectives de la révolution, le parti Toudeh d’Iran voulait faire une révolution et renverser le régime, en s’appuyant sur la volonté des masses populaires !)

Faites attention aux positions du parti Toudeh d’Iran par rapport au mouvement Khordad 15 et à Khomeini :

“Le comportement du pouvoir corrompu à l’égard des chefs religieux a toujours été subordonné à la manière dont il est lié à ce corps : s’ils ont défendu les intérêts du pouvoir et utilisé leur influence à leur profit, ils ont été respectés et respectés. et soutenus par eux, et s’ils se sont sérieusement levés pour défendre les intérêts et les souhaits du peuple, ils ont été haïs, ostracisés et ont subi toutes sortes de désastres et de souffrances. Le comportement du Shah et de son gouvernement envers l’Ayatollah Khomeini et l’Ayatollah Taleghani et d’autres religieux progressistes, leur arrestation et leur profanation C’est un exemple de la politique du Shah à l’égard des religieux. (Peuple – 15 août 1343 )

Une autre citation de la position du parti Toudeh d’Iran concernant Khomeini à la même période : « M. l’Ayatollah Khomeini est l’un des religieux qui ont lutté contre le régime dictatorial du Shah ces dernières années, et à cause de cela, il est harcelé. , persécuté et humilié. » La déclaration de la radio de Londres sur l’opposition de l’ayatollah Khomeini aux « réformes » du Shah ne correspond pas à la propre déclaration de l’ayatollah Khomeini, qui déclare que son combat est contre la tyrannie du Shah, et non contre les réformes. L’exil de M. l’Ayatollah Khomeini a déclenché une vague de colère et de haine envers le régime du Shah, et maintenant que cette nouvelle est publiée, le marché de Téhéran est fermé. Pour notre part, nous nous opposons à cette agression éhontée des autorités putschistes contre M. Khomeini. (Personnes – 15 novembre 1343)

. (Le 15 juin 1942, notre famille vivait à Qom, et cet incident m’a fait entrer, moi, qui avait 9 ans, dans le monde de la politique. L’école d’Aman nommée Razavieh, dont le directeur était Shafii Rouhani, était fermée. Mon père, qui était l’un des premiers membres du parti Toudeh d’Iran, appartenait entièrement au 15ème mouvement. Khordad a défendu et mon jeune frère a participé activement et quotidiennement à diverses manifestations à Qom)

Le parti Toudeh d’Iran, comme beaucoup d’autres forces, a soutenu la ligne de l’Imam pendant la révolution Bahman et après l’établissement du gouvernement de la République islamique jusqu’en 1361. Je discuterai de ces deux questions dans des articles séparés.

6.3.2024